Pour vous distraire, je vous propose aujourd'hui un mini concours. Trouvez le nombre exact de titres de films cachés dans le texte ci-dessous. Pour corser un peu, j’ai ôté les majuscules des noms communs dans les titres. Mais je vous donne un indice dans l'image ci-dessus.
Les personnes qui m’enverront la bonne réponse gagneront un de mes livres de la série jeunesse. S’il vous plait, pour ne pas influencer les autres joueurs, répondez moi en privé sur Messenger ou par mail à lafilledusheriff@gmail.com. Je répondrai à tous les participants.
« Il était une fois dans l’ouest de Moselle Est, une femme sous influence de la littérature. Elle ambitionnait d’écrire LE livre qui lui permettrait de conquérir le jury d’un prix littéraire comme celui qui, l’année précédente, avait fait le choix de Sophie (Terrade). Mais, la vérité si je mens, quand elle allait dans les salons littéraires pour présenter ses œuvres, les visiteurs ne se bousculaient pas devant son stand. S’y ennuyant ferme, elle se disait souvent qu’elle aurait mieux fait d’aller à la piscine ou de visiter le grand bleu. Son style vestimentaire était plutôt du genre le grand blond avec une chaussure noire que talons aiguilles, et à la fin d’une journée particulière où elle n’avait rien vendu, elle disait à ses voisins de table « Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu pour être les invisibles ?» Elle avait l’impression d’avoir passé sa journée dans l’auberge espagnole d’où elle ressortirait avec tous les livres qu’elle avait apportés, d’être une potiche, ou sur le Titanic faisant naufrage, d’ être la prochaine invitée d’un diner de cons ou d’être perdue comme un indien dans la ville. Mais si le parrain littéraire auquel elle rêvait lui ouvrait la porte du paradis elle ferait la grande vadrouille des dédicaces dans toutes les villes de France, serait la bienvenue chez les Ch’tis, signerait à Dunkerque, puis serait accueillie à Paris au mois d’aout avant d’être invitée à déguster les galettes de Pont-Aven.
Alors, futur.e lecteur ou lectrice, ami.e cinéphile, ne le dis à personne, mais si tu veux m’épargner la psychose des séances de dédicaces désertes qui me gagne, viens me voir et échanger avec moi, lors d'un prochain salon.
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